Les années fondatrices
Après la Première Guerre mondiale, elle revient à Paris. Georges Enesco intervient alors auprès de l’État roumain pour s’assurer que la jeune musi-cienne pourra y achever ses études musicales ; en 1921, il la fait jouer à Lausanne.
À Paris, la pianiste fait la connaissance de Mme Gélis-Didot et de Mme Paul Desmarais qui tiennent salon et sont parmi les mécènes les plus actives du monde musical parisien. C’est Mme Desmarais qui propose à Clara Haskil d’aller reprendre des forces en Suisse accompagnée d’une infirmière.










